Répartition

[ vue que l'autre sujet y coince un peu ba j’en fait un pour le moment de répartition des Serpy]

Quali était comme tous les autre élèves de première année pas encor répartie devant madame Mcgonagal et la choipeau. Les élève e bousculaient pour être au 1er rend pour voir le choipeaux choisir dans qu'elle maison irait les élèves. On entendez des "ho" de "ha" complètement démoralisant pensa Quali.

Elle aperçut une conversation devant elle, apparemment deux jeune fille était en trin de parler dans sang pur et de leurs méchanceté, de leurs aire de j’ai toujours raison", Quali écouta attentivement les deux jeune fille...

* Qu'elle pinbèches ces deux là*

Elle poussa les élève en direction de deux jeune fille contant leurs réglé leurs conte, mais le professeur de métamorphose appela son nom...

- Quali Elvaneski...

Quali marcha plus lentement mais toujours droit devant elle, les deux jeune fille allait regrettait se qu'elle avaient dit. Quali était une sang pur, elle méchante certainement insensible a se que pouvait penser les sang de bourbe et c'est justement cette méchanceté qui lui faire ce qu'elle fit...

En passant a côté des deux jeune fille elle marcha sur le pied d'une d’elle, elle poussa un cri qui fit sourire Quali, personne ne sut que c'était elle qui avait causé cette agitation, même si la jeune fille qui avait crier savait très bien qui c'était...

Quali s'assit sur le tabouret et Madame Mc gonagal posa le choipeaux sur sa tête. Elle n'attendit pas, juste après que le choipeau fut en contact avec Quali il dit d'un voie forte.

- Serpentard...

Pour une fois Quali afficha son sourire en publique, c'était exactement se qu'elle voulait, allait a Serpantard. Elle approcha de la table ou d'autres 1er anée avait était répartie dans cette maison. Elle leurs adressa un signe de tête et s’assi…

Un jeune garon semblait assez effacé depuis le début.
Il regardait la Cérémonie de répartition avec une certaine angoisse, se demandant quelle maison voudrait bien de lui. Gryffondor et son courage? Non sûrement pas...Poufsouffle, pour les érudits? Pas vraiment...Serdaigle, la maison des travailleurs?Pourquoi pas...Quant à Serpentard, le jeune Severus n'y pensait que très peu...rusé, il ne pensait pas l'être vraiment, malin non plus...certes, tout ce qui avait trait à n'importe quelle branche de la magie le tentait, et Serpentard avait réuni de nombreux futurs mages noirs, mais jamais, ô grand jamais, le jeune Severus ne s'imaginait comme un puissant Mage Noir défendant le mal...

Il attendait alors son tour avec apréhension. Il voyait de nombreux élèves ravis de leurs répartition...il vit ces deux idiots qui l'avait cherché dans le train, et l'avait empêché de lire...à présent, il connaissait leurs noms: James Potter et Sirius Black...envoyés à gryffondor, bien évidemment; de quoi faire espérer Severus qu'il n'irait pas chez les rouges et or.

Le professeur McGonagall releva la tête de sa feuille, tandis que Rankin, Evan partait à Serdaigle.

-Rogue, Severus!

Timidement, sous les regards de certains élèves, sous les sourires moqueurs d'autres, il grimpa sur la tabouret, et installa maladroitement le Choixpeau Magique sur ses cheveux graisseux.

La petit voix résonna alors.

-Mmmh...de grandes dispositions...une soif d'apprendre et un désir de travail. Je vois, je vois...une âme et un coeur de

SERPENTARD!

Ne comprenant pas vraiment ce qui se passait, Severus retira fébrilement le Choixpeau de sa tête, et rejoignit la table verte et argent, où les élèves applaudissaient leur nouvelle recrue.
Sans dire un mot, se contentant d'un simple sourire, il s'assit aux côtés d'un jeune homme à la chevelure blonde...

[Je suis pose que c'est moi que tu attends. Si ce n'est pas le cas, tant pis! "^^ J'adore m'incruster partout où je peut.]

Dante Craft avait l'esprit bien plus large et ouvert qu'il ne fallait pour aller chez les gryffondors. Travailleur mais parfois paresseux, le première année était serein quant à sa répartition bien qu'il n'avait pas la moindre idée des idéaux, des espoirs et des aptitudes que chacune d'elles m'étaient en valeur. L'allure plutôt posée et souvent songeur, Dante avait hérité énormément de sa mère, comme bien d'autres qualités d'ailleurs. Par opposition, il devait à son paternel cette instabilité toujours constante et ce caractère trop peu ficelé. De nature courtoise, surtout avec ses dames, il observait les autres sans grande angoisse. Il savait déjà que ce qu'il l'attendait ne pouvait être pire que ce qu'on lui avait raconté. Rien de bien méchant en soit!

Dans les premiers de la liste, le jeune Craft décida de laisser faire le temps. La liste était longue jusqu'à l'appel. Observant de sa table les professeurs qui assureraient les cours de cette année, il détailla chacun d'eux jusqu'à leurs moindres petits expressions ou mimiques. Tandis que le professeur Mc Gonagall appelait un petit freluquet dénommé Tom Bing, Dante se retourna et fixa un moment un certain Black. Très renommé pour son étrange complexité et son dévouement au seigneur des ténèbres, cette famille était respecté dans le monde de la magie noire. La foule des premières années se retira alors pour laisser passer le jeune Sirius et le chahut fut alors plus intense à son passage.

Dante le dévisagea, un rien déconcerté par le teint délavé de sa peau qui contrastait avec sa chevelure ébène. Puis ce fut son tour! Rejoignant le rang des serpentards après avoir mit sur sa tête l'espèce de morceau de tissus qui servait de choixpeau, le vert et argent prit place à côté d'un quatrième année à la mâchoire proéminente et aux yeux moqueur. Un temps se passa alors qu'un première année se joignit à lui. Son teint était cireux et son allure peu rassurant voir timide. Dante lui rendit le sourire qu'il lui avait offert et tendit une main amicale à Severus.

" Dante Craft, enchanté. "

De gracieuse et élégante jeune fille s'étaient alors joint à leurs tables. Cette année serait sûrement intéressante, plus qu'il ne l’avait imaginé même. Et tandis qu'il posait ses pupilles couleur émeraude sur les nouvelles arrivantes, on pu voir apparaître un sourire insolent sur ses lèvres.

[à vrai dire j'attendais pas vraiment quelqu'un, mais c'et très bien comme ça Wink

]

Son voisin n'avait pas l'air trop désagréable, et Severus lui tendit une main pâle qui n'avait rien de très vigoureux.

-Salut...euh ben...Severus Rogue.

Il détourna son regard lorsque leurs compagnes s'installèrent à la table. Il remarqua l'attitude soudainement changée de Dante. Il posa à nouveau son regard sur les jeunes filles, et alors qu'une petite brune lui sourit, il se sentit bloqué...à vrai dire, il se sentait bloqué dès qu'une personne montrait un brin de sympathie envers lui.
Il ne put lui rendre qu'une demi-sourire, et reporta alors aussitôt son attention sur les autres élèves et sur Dante en particulier.

-Tu connais du monde déjà? Mes parents ne m'ont jamais beaucoup parlé de Poudlard, alors je connais pas vraiment les élèves.

Il observait du coin de l'oeil la suite de la Répartition, qui allait bientôt se terminer.
Malgré ses airs timides et réservés, Severus avait une grande envie d'apprendre tout ce qu'il fallait savoir sur la magie, de connaître tout ses collègues de Serpentards, tout les moindres recoins du château.

Pour une rare fois, il se sentait chez lui. Personne ne semblait avoir d'a priori contre lui, personne ne l'avait encore regardé bizarrement...enfin, personne chez les Serpentards.

Ceux-ci avaient l'air plutôt ouverts à toute personne de la maison...on disait tellement de chose sur Serpentard et son fondateur que Severus commençait à penser que ces histoires n'étaient qu'une sorte de mythe. personne à sa table ne semblait être disposé à montrer de grands talents de magie noire.

Dante ne perdit pas ce sourire qui venait de naître sur ses lèvres pourpres. Ce geste qui semblait être d'actualité en ce jour, n’était pas de coutume pour ce jeune homme aux allures plaisantes mais à la bouche flétrit par le mensonge et l’antipathie. L'avenir semblait moins sinueux qu'il ne l'aurait cru lui même. Le ventre vide, il aspirait à un dîner plutôt fournit. Ce matin, il n'avait guère prit le temps de manger quelques choses et son ventre criait au loup. Fatigué par le programme surchargé de la journée, il aspirait qu’au drap de la couche qui l’attendait quelques parts dans Poudlard.

Dante fut amusé par le ton hésitant de Severus. Il semblait un rien dépassé par tout ce qui l’entourait mais c’était normal pour un élève de première année. Le monde de la magie était vaste et inconnu pour ceux qui venaient à le découvrir à l’âge où l’enfance n’était plus une fable espiègle que les parents s’amusaient à raconter à leurs tendres rejetons. Les bras croisés sur la table, le visage éclairé par la lumière aveuglante et chaleureuse de la grande salle, le serpentard ne se sentait pas d’humeur à haïr quiconque aujourd’hui. La grande salle rassemblait tellement de personnes, d’espoirs, de rire qu’il était alors impossible de rendre à la communauté des verts et argents le juste titre qui lui était attribué. Le jour était aux festivités. Demain, tout redeviendrait comme son père le lui avait raconté.

Observant discrètement Severus, il remarqua son antipathie face aux sourires d’une jeune et jolie demoiselle qui venait de s’installer quelques mètres plus loin. Le voyant rougir légérement, il comprit rapidement que la timidité de Rogue était une maladie bénigne mais pas irréversible. Le temps, il l’espérait, ferait bien les choses.

« Du monde ? Il suffit surtout de savoir à qui s’adresser. Tous ne sont pas des valeurs sûres au château. »

* … Curieux le petit Rogue à ce que je vois ! Dommage qu’il ne soit pas un rien plus impulsif. Mais ne parlons pas trop vite. Attendons de le voir en action. *

« Par contre, si tu parles de ce monde là, je crois que je peux t’aider… »

Dante désigna, satisfait, la jeune fille qui avait souri à son condisciple quelques instants plus tôt. Se réjouissant d’avance à la réaction de Severus, il reprit alors plus sérieusement.

« Je connais peu de gens ici. Tout ce que je sais, c’est ma famille qui me l’a apprit. Les familles importantes, celles dont il faut se méfier, les endroits intéressants qui pourraient éventuellement me servir et j’en passe. Mais ne t’inquiète pas, tu apprendras bien plus sur le terrain que par la parole. »

Le menton relevé vers le plafond magique, Dante leva ses yeux vers le ciel magique. Il faisait sombre dehors.

Ainsi, alors qu'il finissait de discuter, la répartition prit fin au grand soulagement de beaucoup d'entres eux à la table et s'en suivit une grande fournée de plat en tout genre.

Les rires qui fusaient autours d’eux n’empêchaient pas Severus d’écouter avidement les explications de Dante. Ce garçon avait l’air si sûr de lui, il était à l’aise, souriait à ces filles si naturellement…Severus semblait soudainement tout petit à côté de lui. Pourtant, leur âge était le même, leurs notions en magie ne devaient pas être tellement différentes, et ils se trouvaient dans la même maison.

Il éprouva alors une certaine sympathie. Pour une fois, ce garçon ne l’avait pas regardé de travers, ou adressé un rictus moqueur. Il était…gentil.

Severus balaya la salle du regard, tandis que le professeur McGonagall retirait le tabouret et le chapeau miteux.

Il se tourna alors de nouveau vers Dante.

-Ma famille ne m’a pas été d’une grande aide…ma mère a fait ses études à Poudlard, mais mon père est un…moldu.

Il avait dit ces derniers mots avec un profond dégoût. Cet homme, ce moldu, l’avait privé d’une enfance heureuse, avait rendu sa mère malheureuse. C’était une chose qu’il ne pourrait jamais lui pardonner.
Il s’était souvent imaginé que Tobias Rogue avait épousé sa mère alors qu’elle était déjà enceinte, qu’il n’avait été que son père adoptif, que cet homme n’était pas celui qu’il prétendait être ; mais il fallait se rendre à l’évidence : ce regard, ce nez crochu était le nez de Tobias Rogue, de cet homme envers qui Severus éprouvait un éternel écoeurement.

-Je ne m’inquiète pas vraiment, en fait, j’ai hâte de voir ce que sont les cours. Surtout la potion, on peut faire tellement de choses avec quelques ingrédients…des potions d’invisibilité, des potions de ratatinage, des potion d’enflure,….. des poisons.

Son visage s’était soudainement animé. Apparemment, les deux garçons n’avaient pas exactement le même centre d’intérêt : Dante était concentré sur les jeunes filles qui souriaient béatement, tandis que Severus s’imaginait grand maître des potions en tout genre.

Il sourit intérieurement, et reprit la conversation initiale.

-Mais je ne parlais pas exactement de ce monde-là, dit-il en jetant un faible regard vers les filles gloussant, tout en rougissant un peu.

A 11ans, Severus ne s’était, comme beaucoup de garçons de son âge, que très peu intéressé aux jeunes filles. Il s’était vite aperçu que la partie n’était pas gagnée, et ce sujet n’étant pas pour lui une chose indispensable à sa vie de jeune sorcier, il avait rapidement jeté l’éponge…après tout, il avait toute la vie devant lui, et en règle générale, les filles ne le regardaient pas beaucoup, sauf s’il s’agissait de quémander quelques réponses à un devoir.

Tandis qu’il observait les autres tables du coin de l’œil, il aperçu ces deux idiots de Gryffondors qui le regardaient en s’esclaffant, le montrant du doigt à leurs voisins.
Il détourna la tête, écœuré par le spectacle. Ainsi, c’était eux, ces Gryffondors courageux et loyals…balivernes !

-Tiens, par exemple, tu les connais, ces deux types ? demanda Severus en se tournant de nouveau vers Dante.

La grande salle, agrandit par ses nouveaux arrivants, respirait la joie de vivre et les discutions remplissaient la pièce d’une étrange sensation, d’une chaleur agréable qui apaise. Le bien être avait prit chaque élève à la gorge en cette soirée et aucun reproche ne pouvait gâcher l’amplitude du sourire de ses âmes assagies. Alors que Severus commençait à se modérer, Dante ressentit en lui une extrême force, celle du savoir. Il voulait plus que tout rencontrer la connaissance là où il était né, là où elle avait survécu de tous. Et si leurs âges étaient différents, leurs aspirations n’étaient pas les mêmes. Severus voulait comprendre, lui voulait percevoir la magie et toute sa complexité.

Et si il avait perçut dans son regard un brin de sympathie, il savait d’avance que ce qui l’effleurerait plus tard, pleurerait sa faute ensuite. C’était d’or et déjà un homme exploitable. Il deviendrait quelqu’un d’imposante et de puissant malgré son hésitation à risquer. Il se fortifierait ici même, sous les yeux de ceux qui le méprisent. Dante se fiait toujours à son instinct et il ne trompait pas souvent. Il savait ce qu’attendait le monde et ses espérances. Il avait goûté à tout cela avant de naître. Le ciel lui avait fait ce cadeau d’écoute qui lui servait et lui l’aidera bien plus tard à prôner sa vengeance. Il savait depuis longtemps les atouts dont il devait s’entourer pour s’attribuer respect et fraternité.

Le première année se tourna vers lui et le fixa de ses pupilles de métal. Il discutait alors de leur famille. Tout comme lui, Severus semblait éprouver envers son paternel un profond dégoût. Un sentiment qu’il partageait tout les deux. Mais, par opposition avec lui, il ne semblait guère avoir beaucoup d’attachement pour sa mère. Ce qu’il n’approuvait pas de son côté. Et de but en blanc, Dante savait d’avance la répugnance que celui-ci devait avoir pour les moldus. Si chacun se doutait de la vie qu’avait partagé l’autre, il ne pouvait se comprendre même si leur situation les liait de près. Car si son père avait fait un esclave de ses dotes et avait rendu sa mère malheureuse au plus haut point, il ne lui avait jamais fait remarqué son écœurement envers ce personnage auquel qu’il s’était construit en les rendant aussi misérable qu’il le fut possible.

Les cours intéressaient le serpentard apparemment. Ce ne faisait plus de doute. Mais la première année était de loin celle la plus basique qui soit. Il y avait donc de quoi, parfois, s’irriter. Même si les cours importaient beaucoup pour Dante, c’était vrai, il n’était pas ici la priorité. Ici, il découvrirait son avenir et profiterait de ce temps pour concrétiser ce pourquoi il était venu. Les femmes n’étaient qu’un passe temps comme un autre, une façon de se protéger, un avant goût de l’extase qu’il aurait à frôler bien plus tardivement. C’était aussi une protection efficace, un avantage indéniable. Car ses êtres si manipulateurs avaient le pouvoir de rendre un homme aussi pathétique qu’utile à la tache. Elles étaient un privilège à ne pas laisser sur le côté.

Et quand le serpentard, craintif, se retourna pour désigner les quelques filles assissent non loin d’eux, il sourit. Les femmes étaient tout aussi rusées qu’elles étaient belles. Rogue ne semblait cependant par en avoir besoin.

Observant parfois l’un de leurs congénères, il vit Severus pâlir de rage. Suivant son regard, il fixa ses deux pupilles bleus écarlates sur ses deux idiots qui n’hésitaient pas à montrer ouvertement du doigt, un sourire sur les lèvres, leurs tables. Les gryffondors étaient connus pour leurs extrêmes souverainetés dans le domaine de la bêtise et du lèche bottisme.

« Crois-tu vraiment Severus que je m’abaisse à côtoyer ce genre de chose qui nous montre du doigt ? Je ne suis pas assez idiot pour cela! Et puis tu sais, je viens d’arriver tout comme toi. Mes connaissances sont réduites mais je les sélectionnes la plupart du temps les gens avec qui je discutes.

Il préféra alors se retourner vers son voisin plutôt que d'apercevoir encore les bouffons qui lui faisaient face.

« D'ailleurs, je ne crois pas que je pourrais entretenir, ne serais-ce que pendant une minute, une discussion avec ce genre d’animal mal famé. »

Dante afficha un rictus et saisit devant lui une tranche de jambon fumé. Ceux qui se préoccupaient de ce genre d’individu perdaient leurs temps et leurs énergies.